3 bonnes raisons de devenir auxiliaire de puériculture

Vous avez un tempérament calme, de grandes qualités humaines et l’envie d’exercer une profession au contact des enfants ? Le métier d’auxiliaire de puériculture pourrait bien vous séduire…

Découvrez le parcours de Céline, auxiliaire de puériculture

3 bonnes raisons de devenir auxiliaire de puériculture

Le secteur de la petite enfance joue un rôle de premier ordre dans la société, puisqu’il rassemble un grand nombre d’experts dont la mission est de prendre soin de la santé et du développement des enfants, de leur naissance jusqu’à leur entrée en cours préparatoire (CP). Parmi ces professionnels, les auxiliaires de puériculture, experts des tout-petits âgés de 0 à 3 ans, sont activement recherchés par les employeurs. D’ailleurs, 62 %1 d’entre eux peinent aujourd’hui à recruter les bons profils… Un métier utile et qui recrute, ça vous tente ?

Participer à l’éveil des tout-petits

L’auxiliaire de puériculture joue un rôle structurant dans le développement et le bien-être des très jeunes enfants. Auprès des nouveau-nés, il prodigue des soins essentiels comme la toilette, la surveillance du poids ou la prise de température, et veille à ce que leur environnement réponde aux normes d’hygiène en vigueur. 

L’auxiliaire de puériculture participe à l’éveil des enfants « plus grands » au travers d’activités ludiques sollicitant leurs capacités physiques et intellectuelles. La psychologie infantile, la psychomotricité et les techniques d’apprentissage n’ont aucun secret pour lui ! C’est aussi à son contact que les enfants apprennent à interagir avec les autres et à devenir autonomes.

Autant d’arguments qui devraient vous convaincre de vous orienter vers ce métier, surtout quand on sait que des milliers d’offres sont à pourvoir !

Exercer dans des structures variées

Aussi appelé « assistant d’accueil petite enfance » ou « assistant de puériculture », l’auxiliaire de puériculture est placé sous la responsabilité d’un puériculteur, d’un pédiatre, d’un infirmier ou d’une sage-femme. Hygiène, confort, alimentation… Il prend pleinement soin des tout-petits et peut travailler dans le secteur public ou le secteur privé, au sein de structures dédiées à la petite enfance telles que :

  • les maternités ;
  • les crèches, garderies et haltes-garderies ;
  • les services hospitaliers de pédiatrie et de néonatologie ;
  • les structures d’accueil, tels que les Centres de Protection maternelle et infantile (PMI) ;
  • les services départementaux de l’Aide sociale à l’enfance (ASE).
Par ailleurs, certains auxiliaires de puériculture font le choix d’exercer directement au domicile du ou des enfants dont ils sont responsables.

Accéder facilement à un métier riche en perspectives !

Une formation d’un an - préparée dans le cadre du diplôme d’État d’auxiliaire de puériculture - suffit pour apprendre le métier d’auxiliaire puériculture. Un cursus accessible avec un niveau baccalauréat, mais aussi avec le CAP petite enfance ou le BEP carrières sanitaires et sociales.

Une fois votre diplôme en poche, lancez-vous dans une carrière aux nombreuses perspectives d’évolution ! Ainsi, après quelques années d’expérience, il est possible de gagner en responsabilités et de devenir puériculteur, ou d’évoluer vers le métier d’éducateur de jeunes enfants.

Si vous êtes intéressé par le monde de la santé, il existe des passerelles pour travailler dans ce secteur. En effet, après un  an de pratique en tant qu’auxiliaire de puériculture, vous êtes éligible au concours pour devenir aide-soignant. Quant au diplôme préparant au métier d’infirmier, il est accessible après trois ans de pratique.

Découvrez le témoignage de Marine, qui s’est reconvertie au métier d’auxiliaire de puériculture

1 Source : http://www.cpnef.com/images/stories/maquette/observatoire/notes-cadrage/Panorama/Panorama_2021.pdf